Théâtre  l'Escapade     193, avenue de Scheut - 1070 Anderlecht - Tél : 02/771.76.45

Sommaire   Qui sommes-nous ?   Programme   Réservation   Photos   Historique   Avis de recherche   Contact   Liens   Vos réactions

Arnaud SottiauxCarmelo MiragliaColette StassartDanielle LebrunDidier MilisDominique GhysselinckxDominique VeraytElise BroyardIngrid BrasseurJean-Marie-RigauxMarc LambergMarianne Braconnier
Marie-Laure de BehogneOlivier BauwelinckxPatricia BernardPhilippe MacaPierre ChalsègePierre RoosensStéphane De VylderThierry MoulartVéronique PiercotVincent Van GeemXavier Graindorge

C’est avec beaucoup de tristesse que j’écris ce petit mot…

Nous avons tous eu l’occasion de partager de merveilleux moment avec Pierre, autant sur scène que dans la vie courante.

Il était un des piliers de L'Escapade, tant comme comédien que comme décorateur, mais surtout un compagnon extraordinaire, toujours drôle et plein de bonnes intentions.

Tu vas me manquer très fort, ainsi que les moments privilégiés et tellement drôles passés à faire des décors avec toi, à jouer à tes côtés ; je ne pourrai plus te charrier et t’entendre rire des feintes débiles qu’on pouvait se balancer… que de bons souvenirs qui resteront éternels.

Merci pour tous ces moments de bonheur.

Didier Milis

Piège pour un homme seul (novembre 2006)

L'imposteur (avril 2008)

Salut Pierrot,

Mes premières expériences à l’Escapade, je les ai faites à tes côtés.

Quel bonheur d’écouter les conseils de « Papy », de partager tes rires en coulisse, surtout quand en parlant de metteurs en scène, tu disais : «  Même si je ne comprends pas toujours où ils veulent en venir, moi je fais ce qu’on me dit de faire… ils savent ce qu’ils font » et tu le faisais à la perfection, plein d’humilité.

Tu étais un grand comédien mais surtout un grand homme.

Une nouvelle étoile brille dans le ciel.

Adieu Major !

Carmelo Miraglia


Pourquoi si vite ? Tu étais pour moi ce papy toujours de bonne humeur avec plein d'humour.

Tu vas beaucoup me manquer et l'Escapade perd non seulement un grand comédien mais surtout un vrai compagnon sur qui on pouvait toujours compter.

J'ai partagé quelques distributions avec toi et j'ai toujours ressenti ta manière positive d'aborder les choses sans oublier ton professionnalisme.

J'ai du mal à accepter ton départ et 1001 bons souvenirs me reviennent à l'esprit. C'est grâce à eux que je retiens mes larmes.

Olivier Bauwelinckx

L'imposteur (avril 2008)

Le testament comique (janvier 2005)

Que dire, à part qu'il va nous manquer, que c'était un comédien et un homme merveilleux, que mon cœur saigne et que mes yeux coulent en écrivant ce mot.

Et pourtant quand je pense à lui je suis heureuse, pleine de joie, parce que j'ai eu la chance et le bonheur de partager des moments inoubliables sur scène avec lui.

Même si tu m'a fais devenir folle quand il fallait te maquiller !!!

Merci Pierre d'avoir croisé ma route.

Au revoir, Pierre

Marianne Braconnier


Les mots me manquent pour décrire ma peine… Pierre était quelqu’un de TRÈS bien.

Toujours si gentil, si consciencieux, toujours près à rendre service ; l’aider aux décors était un plaisir car il savait me guider en douceur malgré ma maladresse…

Et son rire ! Que j’entends encore quand mes pensées vont vers lui .

Tu me manques cher Pierrot, et tu me manqueras encore plus dans les jours à venir…

Tu étais un grand comédien, toujours à l’écoute pour jouer ton rôle le plus parfaitement possible.

Je te dis au revoir et tu resteras pour toujours dans mon cœur car tu n’es pas loin… juste de l’autre côté du chemin.

Je pense très fort à ta famille car je sais la place que tu tenais auprès d’eux.

Les mots sont bien pauvres en de telles circonstances et je veux leur dire aujourd’hui qu’ils sont dans mes pensées et dans mon cœur.

Sophie Wiard

Madame Filumena (mars 2006)

La souricière (mai 2009)

« Pendant dix ans tu as essayé de me faire taire et de m’empêcher de dire des bêtises. Tu y es enfin arrivé. Ce soir, je ne trouve pas les mots pour dire ma douleur et le froid glacial qui est en moi. Juste envie de dire que je t’aime, mon pote. Et puis tu verras, de là-haut, que comme toi, je peux, moi aussi, tapisser en râlant. »

Pierre Roosens


Tu avais dit que La souricière serait ta dernière pièce... pourquoi a-t-il fallu que tu aies raison sur ce coup-là ?

J'ai trouvé en toi un compagnon aussi remarquable que discret, veillant à ne blesser personne, attentif à tout et à tous lors des répétitions.

Tu as toujours répondu par de gentilles indignations à mon humour souvent plus que limite.

Tu nous a offert à l'Escapade de somptueux décors.

Pour tout cela, merci Pierre.

Marc Lamberg

La souricière (mai 2009)

L'imposteur (avril 2008)

Émotion et tristesse...

J'ai eu l'occasion d'être l'une de tes partenaires de théâtre dans, notamment, "Le malade imaginaire" où tu incarnais le rôle de Diafoirus-père (ton 1er rôle à l'Escapade, je crois).

Interprétation d'une grande rigueur et une justesse de ton, sous la houlette créative et ingénieuse de Vincent Dujardin.

D'une grande gentillesse, affable, jovial, convivial, prévenant, mais aussi plein d'humour et souvent pince-sans-rire, efficace et précieux ; nous te gardons une place bien au chaud dans notre cœur...

Bill et Trinette (Dominique Verayt) présentent à Jacqueline et à ses proches leurs plus sincères condoléances.


Hello, Pierrot !...

Je n’oublierai jamais ta gentillesse, ta serviabilité, je penserai toujours à ton talent d’acteur.

Quand je pense à toi, je revois ton œil malicieux, tu avais un sens de l’humour qui me réjouissait beaucoup.

Voilà de nombreuses années que nous nous connaissons, nous avons passé de bons moments ensemble et ça, ça ne s’oublie pas… Je garderai un merveilleux souvenir de toi.

Colette Stassart

Le voyageur sans bagage (janvier 2004)

La souricière (mai 2009)

Quand je pense à toi, les bons souvenirs partagés avec toi se bousculent dans ma tête et je ne peux m'empêcher de sourire. Mais aujourd'hui les larmes me montent aux yeux en pensant que tous ces moments furent bien trop courts.

Tu étais un excellent comédien, décorateur, camarade,... Toujours humble, bienveillant et prêt à partager ton expérience.

Ton absence va laisser un énorme vide.

Adieu et merci pour tout !

Marie-Laure de Behogne


Ah ! Pierre ! Que ce fut agréable de jouer avec toi, toujours si pondéré et si précis dans ce que tu faisais. Je viens de lire les mots des autres et les larmes coulent.

Tu nous étais revenu, après ton opération, tout gaillard, malgré les désagréments qu'elle entraînait pour toi, et j'avais peur que tu te fatigues trop. C'était pour "Les portes claquent" ou pour "Le voyageur sans bagage" ? Je ne sais plus.

La maladie était passée une première fois et puis elle a attaqué à nouveau : "Un terrible incube" comme dit l'auteur Wilbur Smith "une chose de chair et de sang mais qui n'a rien d'humain". Et le monstre t'a emporté.

Je te souhaite, là où tu es peut-être, les plus belles rencontres, pour l'éternité...

Et je pense à la terrible déchirure que ressentent Jacqueline et toute ta famille. Et j'en ai mal aussi, bien modestement.

Au revoir, Pierre et merci de ta camaraderie !

Danielle Lebrun

La souricière (mai 2009)

Madame Filumena (mars 2006)

Je ne peux que déplorer de ne pas t’avoir dit assez fort de ton vivant combien j’aime les personnes comme toi, droites et courageuses.

Certes nous connaissions tous ton talent, ton sérieux au travail, tes dons de décorateur mais j’ai pu trouver en toi quelqu’un qui écoute, qui conseille, qui n’a jamais hésité à partager son expérience… bref un ami, un vrai.

Un souvenir qui me vient : tu râlais car pour un salut à la fin d’un spectacle tu devais danser et tu as vraiment tout fait pour l’éviter, tu trouvais cela ridicule… Mais comme la metteur en scène n’en a pas démordu… tu l’as fait comme les autres et avec le sourire (et tu l’as bien fait).

Vous devez former une belle bande là-haut. Je t’embrasse.

Dominique Ghysselinckx


La première fois que j’ai travaillé avec « L’ami Pierrot » c’était pour « Les portes claquent » où il jouait le père de famille. À la première répétition, j’ai découvert un homme d’une belle prestance, portant beau et avec cette chevelure argentée qui est « La crinière des Dieux ».

J’ai découvert un comédien de grand talent, pouvant tout jouer, toujours à l’écoute, disponible, faisant une confiance totale au metteur en scène. Un rêve et un réel bonheur.

Voilà. « L’ami Pierrot » est parti donner la réplique à Jean Gabin, car tout comme lui son talent de comédien est immense, comme lui il peut être d’humeur bougonne, ce qui cache souvent une immense tendresse, et tout comme lui, il a cette fameuse « Crinière des Dieux ».

Tant pis s’il pleut un peu plus sur terre, à eux deux, ils vont faire pleurer de rire les anges.

Noël Baye

La souricière (mai 2009)

La souricière (mai 2009)

J'ai eu le plaisir de jouer à seulement deux reprises avec toi. Pourquoi si peu ? La première fois, c'était justement ma première fois sur scène. Toujours à l'écoute, jamais négatif, tellement organisé et perfectionniste, tu ne pouvais que me mettre à l'aise et m'inspirer la confiance et la complicité.

Ensuite j'ai vite remarqué à quel point tu débordais d'auto-dérision. Je pouvais te taquiner et te titiller, tu ne perdais jamais ton sens de l'humour. Le plus drôle ne consistait pas seulement à rire de toi mais surtout à rire avec toi.

Aux répétitions, tu étais le partenaire idéal. Tu pouvais réciter ton texte avec toujours la même précision et la même énergie, et tout ça en respectant à la lettre les mots de l'auteur. Excuse du peu ! Pourtant, une fois sur scène, il n'a pas été rare que tu remplaces un mot par un autre ou que tes prétendues fausses dents te fassent perdre un mouvement d'articulation en cours de route. De ta part, ça me surprenait tellement que j'avais du mal à garder mon sérieux. Et même si ton départ me chagrine, je suis heureux de constater que tu continues à me faire rire à travers ces souvenirs.

Finalement je me demande si, sous tes allures d'artiste accompli et très expérimenté, il ne sommeillait pas un petit garçon excité à l'idée de jouer devant un public et les gens qu'il aimait. Ce petit garçon est parti trop tôt et il va me manquer.

Vincent Van Geem


Nous n’avons malheureusement joué qu’une seule fois ensemble.

Mais ne dit-on pas que la qualité vaut mieux que la quantité… ?

Et quel bonheur que ce « Piège pour un homme seul » où tu incarnais si justement cet artiste clochard !

Merci pour ces beaux moments à jamais gravés dans ma mémoire.

Ingrid Brasseur

Piège pour un homme seul (novembre 2006)

Piège pour un homme seul (novembre 2006)

Toute la troupe de Fritkot se joint à moi pour rendre hommage à Pierre Chalsège que nous avons eu le plaisir de voir sur scène de nombreuses fois à la salle Molière.

Nos pensées vont à sa famille et à ses amis.

Amicalement,

Didier Hoogers


Tu regarderas, la nuit, les étoiles. C'est trop petit chez moi pour que je te montre où se trouve la mienne. C'est mieux comme ça. Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles. Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder... [...]

Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j'habiterai dans l'une d'elles, puisque je rirai dans l'une d'elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. [...]

Et quand tu seras consolé (on se console toujours) tu seras content de m'avoir connu. Tu seras toujours mon ami. Tu auras envie de rire avec moi. Et tu ouvriras parfois ta fenêtre, comme ça, pour le plaisir... [...]

Ce sera comme si je t'avais donné, au lieu d'étoiles, des tas de petits grelots qui savent rire...

Saint-Exupéry

Bon voyage vers ton étoile, mon cher Pierrot.

Patricia Bernard

Madame Filumena (mars 2006)